peureux de la brièveté ils s'acharnent à extraire de chaque seconde le meilleur profit
La fin
peureux de la brièveté ils s'acharnent à extraire de chaque seconde le meilleur profit
la conscience
l'inspiration
Tant de choses me viennent, toutes me traversent , l'inspiration retenue de peur qu'elle s'essouffle, l'expiration reportée aux prétextes de conditions autres,
Il y a l'espace et le temps et l'amour,
Il y a les arbres qui dansent lentement bien loin du ciel clair, les oiseaux semblent y voler plus vite.
Il y a l'espace et le temps et l'amour,
Il y a les arbres qui dansent lentement bien loin du ciel clair, les oiseaux semblent y voler plus vite.
Trève
Ciel dégagé lumineux, bande ouverte.
Beaucoup de traits bleus dans un rêve.
Trève
Entre deux pages de vocabulaire.
Rêve de cécité oculaire. Rêve d'avion a prendre.
Au réveil ban d'oiseaux synchronisant leur vols.
Inaccessibles.
Inutile de se projeter dehors avant que l'éclaircie ne se gâte.. voila ça bouge, le gris l'emporte.
L'éblouissement restera associé au réveil, au commencement.
La lune confirme sereine
Quand bien même la dérive des hommes, l'éclat ne cesse, de se remplir, de se vider, de tourner, d'apparaitre, de se voler,
Qu'importe les extrêmes elle vit son cycle,
Immuable repère, qui accompagne les penseurs de la nuit, partageant leur solitude:
Mais n'est elle pas la preuve, cet astre qui n'aurait pas la parole sans le soleil, fidèle sans la rencontre.
Quand bien même la dérive des hommes, l'éclat ne cesse, de se remplir, de se vider, de tourner, d'apparaitre, de se voler,
Qu'importe les extrêmes elle vit son cycle,
Immuable repère, qui accompagne les penseurs de la nuit, partageant leur solitude:
Mais n'est elle pas la preuve, cet astre qui n'aurait pas la parole sans le soleil, fidèle sans la rencontre.
la chaleur ne nous atteins plus
la surface est brulée le potentiel reste cru,
On a toute la vie pour être, le temps matière transformable, le temps espace coupable,
Être, se mouvoir, dire, créer
Tant de moyen que parfois il a le vertige,
tant de possibilités,
l'erreur y est comprise,
Le bon sens confirme pourtant par la récompense de la surprise,
d'un sourire, de la sincérité, de l'émerveillement, du silence, de l'accord, de l'harmonie,
sont de beaux indices de la justesse,
sans cesse se réajuster doucement pour ne pas être violent avec soi même ou aveugle des autres,
confiant.
la surface est brulée le potentiel reste cru,
On a toute la vie pour être, le temps matière transformable, le temps espace coupable,
Être, se mouvoir, dire, créer
Tant de moyen que parfois il a le vertige,
tant de possibilités,
l'erreur y est comprise,
Le bon sens confirme pourtant par la récompense de la surprise,
d'un sourire, de la sincérité, de l'émerveillement, du silence, de l'accord, de l'harmonie,
sont de beaux indices de la justesse,
sans cesse se réajuster doucement pour ne pas être violent avec soi même ou aveugle des autres,
confiant.
Cette pute d'idée qui me ronge le crane
qui demande a chaque éclat une dose à consommer,
alors je consume rapidement la cigarette qui me prive de deux doigts
goulette lentement la bierre qui occupe tout la main,
alors rendue à trois doigts maladroit restant,
qui ne sont même ceux de la main qui écrit je tape enragée.
Quelle pute cette idée qui germe sans fleurir
me tiens a résidence pour la rançon d'une finalité,
une finalité d'écrit rendu édition,
pour rien de plus qu'un prétexte d'ordre,
une flemme enflammée remise à plus tard,
il faudrait un certain matin
j'ai depuis bien dormi,
sécher ses mots qui dégoulinent d'insignifiance,
débrancher le chauffage pour brancher l'ordinateur , il faut choisir
qui demande a chaque éclat une dose à consommer,
alors je consume rapidement la cigarette qui me prive de deux doigts
goulette lentement la bierre qui occupe tout la main,
alors rendue à trois doigts maladroit restant,
qui ne sont même ceux de la main qui écrit je tape enragée.
Quelle pute cette idée qui germe sans fleurir
me tiens a résidence pour la rançon d'une finalité,
une finalité d'écrit rendu édition,
pour rien de plus qu'un prétexte d'ordre,
une flemme enflammée remise à plus tard,
il faudrait un certain matin
j'ai depuis bien dormi,
sécher ses mots qui dégoulinent d'insignifiance,
débrancher le chauffage pour brancher l'ordinateur , il faut choisir
L'espace nocturne scintille puis fond,
La vision réflexive superpose les masses aux vapeurs,
Le cerveau s'y retrouve, s'y éveille.
L'oiseau de l'aube s'agite, graille la veille dans le fossé,
la ville se synchronise par la clarté cruelle qui découpe les surfaces de l'ombre.
Voir l'autre qui dort, voir celui déjà dressé,
Les douleurs se réveillent aussi, alors la peine, alors la joie d'en avoir.
L'intuition se précise, l'erreur s'est repentit dans son repos, s'en suit la promesse d'une éthique heureuse,
Maintenant le matin relativisé il faudra se motiver à la vie.
La vision réflexive superpose les masses aux vapeurs,
Le cerveau s'y retrouve, s'y éveille.
L'oiseau de l'aube s'agite, graille la veille dans le fossé,
la ville se synchronise par la clarté cruelle qui découpe les surfaces de l'ombre.
Voir l'autre qui dort, voir celui déjà dressé,
Les douleurs se réveillent aussi, alors la peine, alors la joie d'en avoir.
L'intuition se précise, l'erreur s'est repentit dans son repos, s'en suit la promesse d'une éthique heureuse,
Maintenant le matin relativisé il faudra se motiver à la vie.
mélasse universelle
Manipulée pétrie faite de pression aplatie pliée,
dans un sens,
puis dans l'autre,
a nouveau pétrie, à nouveau étalée jusqu'au déchirement
puis le replis
puis dans l'autre,
l'infini feuilletage de ma vie de main en main
en expansion comme l'univers
ça crie dans les abysses vibrations enfouies tremblement imperceptible cœur palpitant
dans un sens,
puis dans l'autre,
a nouveau pétrie, à nouveau étalée jusqu'au déchirement
puis le replis
puis dans l'autre,
l'infini feuilletage de ma vie de main en main
en expansion comme l'univers
ça crie dans les abysses vibrations enfouies tremblement imperceptible cœur palpitant
Ce qui se vit sans se voir,
soldat pute ou pigeons, singularités remplacées à jamais par le multiple,
la manipulation, la corruption, l'esclavage, l'enfermement, la privation, l'abus,
l'atteinte.
C'est si commun,
c'est si triste ce commun.
-
L'Horizon c'est pour les riches,
d'où cette fatalité de la misère face au mur?
-
Ces boulevards trop grands pour moi.
Ces lumières qui m'épuisent,
privatisées
cet artifice à l'ennui existentiel.
J'ai quitté un ami sans en rejoindre, j'ai feint l'autonomie,
je me vois comme je me sais un peu perdue quand l'autre esquive.
soldat pute ou pigeons, singularités remplacées à jamais par le multiple,
la manipulation, la corruption, l'esclavage, l'enfermement, la privation, l'abus,
l'atteinte.
C'est si commun,
c'est si triste ce commun.
-
L'Horizon c'est pour les riches,
d'où cette fatalité de la misère face au mur?
-
Ces boulevards trop grands pour moi.
Ces lumières qui m'épuisent,
privatisées
cet artifice à l'ennui existentiel.
J'ai quitté un ami sans en rejoindre, j'ai feint l'autonomie,
je me vois comme je me sais un peu perdue quand l'autre esquive.
Ca s'épuise ça se dégrade ça passe inaperçu
c'est la pire quand enfant tu crois que le mal se débusque non il se chasse dans l'intime malin.
Une fois né tu dois vivre maintenant,
allé bon courage
affronte l'antipathie
renvois la balle.
je ne veut plus savoir quelle partie tire sur les nerfs, et engendre la gène, maintenant le corps souffre , le foyer ne doit pas être identifié pour ne pas être entretenu, comme un caprice, qu'il se calme, en attendant c'est le tout qui malaise.
c'est la pire quand enfant tu crois que le mal se débusque non il se chasse dans l'intime malin.
Une fois né tu dois vivre maintenant,
allé bon courage
affronte l'antipathie
renvois la balle.
je ne veut plus savoir quelle partie tire sur les nerfs, et engendre la gène, maintenant le corps souffre , le foyer ne doit pas être identifié pour ne pas être entretenu, comme un caprice, qu'il se calme, en attendant c'est le tout qui malaise.
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