Avant tout je m’excuse si je traite les évidences de
façon légère mais je ne raconte pas d’histoires, les faits dits
ou montrés ne sont pas retouchés ici, si je choisi l’essence
des choses c’est parce que c’est par là qu’elles se consument le mieux. La photographie est la pratique d’une réévaluation de ce
que notre cerveau par instinct regarde. Le temps d’une ouverture puis d’une empreinte, un instant
dans notre expérience commune, d’êtres dominants, sensibles. Il se fixe forcement sur la pellicule le réel d’un souvenir
vécu, invisible dans l’immédiat du présent. Il arrive de vouloir transmettre et de proposer ainsi au
devant d’yeux autres des compositions, témoins d’idées,
d’approche. Et tenter de toucher aussi le fond des rétines
raisonnantes par elles-mêmes.
L’écriture elle est une expiration codée, un dialogue surtout libérateur, ouvert, dans l’attente d’être bien reçu. Dans un sens ou dans un autre il fallait commencer, j’encourage quand même la manipulation dans l’espace et la lecture à voix haute sinon c’est faire semblant.
Quant au support lui, tirages unique compris, qu’il vive sa vie loin de moi, qu’il s’épuise sous l’œil du temps, comme nous, dont je parlerais plus tard.
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Front à l’évidence,
Dans leur regard le désarroi, celui du prince qui ne saurait évaluer l’étendu de son domaine, sans voir la limite, ni l’ennemi derrière, En mouvement, porté sur la route l’ouverture sur le paysage rapide et bien là l’occasion de voir au loin de la place du mort tranquille et cette échappée possible au fond de ses propres thématiques curieuse, le paysage défilant.
L’écriture elle est une expiration codée, un dialogue surtout libérateur, ouvert, dans l’attente d’être bien reçu. Dans un sens ou dans un autre il fallait commencer, j’encourage quand même la manipulation dans l’espace et la lecture à voix haute sinon c’est faire semblant.
Quant au support lui, tirages unique compris, qu’il vive sa vie loin de moi, qu’il s’épuise sous l’œil du temps, comme nous, dont je parlerais plus tard.
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La réalité, une fois l’instant passé, subit toute les décorations d’imagination possible,
la représentation, soit. Les phénomènes fous jouent le jeu de la vie dans ce décor titré un jour par l’homme,
puisque les circonstances lui ont fait croire qu’il en était l’acteur principal.
notre fonctionnement est tel que n’ayant pour seule but le relais de la vie, il fallait
malheureusement pour l’Homme sans doute plus bête que les autres espèces,
trouver un moyen de ne pas s’ennuyer puisque le temps passé passif à recevoir les
rayons du soleil s’est révélé perdu.
Depuis et dans toutes les langues les status et les caractères désignés des hommes éparpillés inégalement sur la Terre ne cesseront d’évoluer.
Depuis et dans toutes les langues les status et les caractères désignés des hommes éparpillés inégalement sur la Terre ne cesseront d’évoluer.
Et si les haies taillées se souviennent des histoires passées, cette fois la curiosité voisine vaut son pesant fertile.
Volonté d’entretien puisque tout est bi€n, la propriété individuelle de l’un sera le motif de progression pour l’autre.
Aussi toutes ces démonstration hasardeuse à portée, d’intentions d’autrui sont offertes comme surprise quotidienne. Il y a la conscience matérielle, qui induit en erreur, ce pouvoir de formes, qui aurait
pu rester ravissement, si le contrôle n’était pas une fierté innée.
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Chaque placement dans un lieu est expression. Une composition manifeste du
désir d’un.
Le lien est la, organique. Comme l’éveil visuel, fait sur le moment est perception,
écouter ses propres vibrations.
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C'est l'intention qui compte, certaines notions élémentaires doivent être remise dans le bon sens. Ces trouvailles retenues chez les autres pour occuper magnifiquement leur corps
dans l’espace sans prétention.
Tentatives pour conjurer le sort parfois, comme si la vie s’apprivoisait par la grâce.
Tentatives pour conjurer le sort parfois, comme si la vie s’apprivoisait par la grâce.
L’air inquiet à la volée sur les visages, instantané de voyage entre amis. Si a vingt ans l’épanouissement nous est conté comme étant une bonne situation
sinon la rue. je rappelle que notre goudron bientôt inutile repose sur la terre battue.
L’Humain lâché libre s’entoure de camarade et en oublie sa belle nature, dans cette grande retrouvaille organisée mafieusement, de nombreux humains animés du même désir d’oubli d’eux et leur identité, le corps vibrant sans trêve, une fois
l’illusion passée la route est longue, et ces airs là valent bien des éclats.
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Dans leur regard le désarroi, celui du prince qui ne saurait évaluer l’étendu de son domaine, sans voir la limite, ni l’ennemi derrière, En mouvement, porté sur la route l’ouverture sur le paysage rapide et bien là l’occasion de voir au loin de la place du mort tranquille et cette échappée possible au fond de ses propres thématiques curieuse, le paysage défilant.
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Preuve par couche de la compétition des humains face à l’immense, comment l’énergie déjà faite lumière passe inaperçu fasse à la prouesse. En fin, une petite infrastructure de manège en fête. Il faut se rappeler alors ces cris d’enfants, ou choisir la surdité du ciel.