goudes


cabriès
























Les perturbations ne sont pas à dénombrer, toutes sont considérables, et chacune doit pourtant être formulée prouvée pour être prise en compte.
Absurde perte de temps, alors que l’évidence est au dessus de leurs crânes sceptiques, non, il faut que l’humain se courbe et lise les rapports des disparitions, balayant de sa main rigide les plumes des dépouilles qui s’effondrent sur ses dossiers. Cet abruti éternue des poussières et accuse son voisin.
Il fallait mettre la main devant la bouche lui dit il, n’ayant pas remarquée qu’elle était déjà comblée de merde et que seule sa main rigide communiquait sur le clavier.

Bref, les oiseaux migrent toujours.
Sans formuler la question peut être la bête, du moins ses milliards d’individus à plume s’interrogent pourtant, ils ont bien remarqué le massacre, les familles sont décimées.

Plusieurs cas s’il faut les dire : - les conditions de départ falsifiant l’horloge interne, la neige en été et les juillettistes
Les vacanciers sont têtus et partent quand même c’est plus fort que soit la migration, c’est interne, c’est vital.
N’ayant pas de valise ni de nouvelle de la destination, déterminé volontaires ils s’envolent par dessus terre&mer.
Quand l’arrivée n’arrive pas quand la destination s’échappe et que le vol se prolonge il faut bien que l’effort ça use et que la nature étant bien faite les résevoirs ne sont pas éternels même si ont tend à le prétendre.
Alors la fatigue, alors le battement s’arrête et l’oiseaux dégringolent éjecté de la course.
L’intention était belle oui c’était la survie la performance était belle conduite par l’équipe mais bientôt le seul vainqueur meurt de n’avoir pu se reproduire.
Les cousins de l’autre côté attendent aucun n’est revenu, personne n’est prévenu, il faudra plusieurs saisons pour que l’espèce capte le piège et change ses plans. Pas facile de redéfinir un comportement, malgré l’organisme sophistiqué, il y a de nouvelles tentatives mais le globe est semé d’embûche.

Un niveau au hasard prenons celui de l’humain- puisque seul lecteur, on sait bien la tendance ancestrale d’illuminer son monde pour conjurer les ténèbres, ses villes sont si irradiante que les oiseaux s’y éblouissent et comme le lièvre malheureux d’en être le mythique exemple, la lumière provoque chez lui comme chez eux le choc et la perte de repère et la perte de repère c’est la confusion, et dans ce monde terrible ou aucun ange n’est plus là pour sauver qui ou quoi conque, la confusion mène à la mort.
L’oiseau tournant gyrophare - tragique alarme de l’époque sacrifiée à l’absurde - s’aveugle et se débat dans l’épais feutre de lumière quand il n’est pas faisceau calcinant. Sans omettre les centaines milliers de griffes et de plumes qui jonchent les sols au bas des tours.

encre




L’ironie d’être partie du, sans partir de.























L’intériorisation habilement agencée telle que le faisceaux brûle celui qui aurait pu irradier.



















Mikail Cicekciler à l'étude - Humble Définition





Aliqui novi



C'est avant le visible que cela commence.
Comment savoir ce que permet un collectif sans se réunir ?
Il fallait se revoir après ces mois d'absence, en correspondance certes mais éloignés
chacun différent et plus riche de ses expériences.
Il fallait réactualiser par la discussion les désirs des trois membres.
Trois corps, trois esprits, trois positions.
La sculpture comme l'inconnue solution qui admet forces, caractères et comportements.
Un nouveau projet comme catalyseur de ces énergies nouvelles, l'association redevient
par étapes de connexion...
Une opportunité dénichée saisie à l'école de Céramique d'Aubaine ; 3 tonnes de gravats
à détourner de leur future transformation.
Une réponse à l'appel à participation pour le festival des Arts éphémères dans le parc de
la mairie du 9eme.
/Le programme se dessine, moteur d'expérimentation.
Il faudra trier les gravats, en exclure mal grès l'intérêt des objets déjà cuits par les étudiants, puis empaqueter des sac de chantier commandés pour l'occasion par l'hôte du futur
lieux, à savoir la Mairie du chic quartier du 9ème.
Acheminer les sacs dans le parc lisse de son entretien quotidien.
Le découvrir ce parc et prospecter pour un lieu propice -en contre bas du chemin de
promenade 100m2 semblent disponible, à peine à l’abri sera la surprise.
/Agencement du territoire en devenir, terre sur terre séparées par trois bâches en plastiques, trois pôles d'activités sont envisagés.
Le collectif se retrouve un certain jour, premier contact humide, enfin seuls, la rencontre
passionnelle avec la matière. Il s'agit bien de crottes de terre dispersées. Le corps collectif s'active de ses mains, de ses pieds, de ses pinces pour prendre et peser, prendre et
détacher, découper, déplacer, aplatir..Les corps réagissent les uns sur les autres, Les
mouvements s'achèvent en un point d'accumulation, Amas de boue, amas de gestes désordonnés.
C'est le soir du vernissage, le soit disant soir ou nous public, devrions apprécier la création des jeunes parmi les autres imposture désignées "éphémères". Or ils sont absents
arrachés à leur ébats par le devoir de présence aux divers discours. Alors l'endroit est
vide tristement, il n'y a que ce tas et le chantier autour, difficile de deviner au delà du
spectacle désolant de performance abandonnée.
Pour certain il s'agit d'un "gâchis d'enfants". Je réplique "le constat est si simple qu'il est
stupide...admettons... n'est ce pas une urgence tragique que de mettre en œuvre
l'expérimentation ? Proposer sans savoir, proposer juste et justement, tirer parti
d'événements protocolaire pour apprendre à provoquer l'interaction avec la matière qui
n'a pas besoin de nous elle qui s'en sortait bien mieux sans nous d'ailleurs, qui ne
s'améliore par elle, qui se voit trafiquée qui n'a pas les mots pour le dire, peut être cette
acuité là a la rendre visible au cœur de la crise.
Je termine "Tant mieux s'ils s'amusent!
Tant pis pour ceux qui ne reviendront pas.
Le lendemain le corps rentre, intervient dans le contenu, sort, circule, transperce, transpire, fragilise, renforce, s'épuise. Articulation entre chacun, chaque geste.
Accompagnement dans la lutte, l'ennemi n'est pas l'argile, l'ennemi n'est pas l'autre, il est
ailleurs, il semblerait que l'énergie s'intensifie insensée et pourtant sensible, il y a beaucoup de symbolique au passage, des naissances, des enterrements, des fuites, des trous
percé au doigts, des déplacements chargés sur le ventre, sur le dos, sur la nuque, des
essais sans figuration, des ébauche achevées, empêchées, démolies anéanties avec toujours ce sacré tas de terre.
Pauses.
Bref recul
Qu'est ce qu'on fait ?
Qu'est ce qu'on dit ?
Doute du devenir
/Ré attaque :
Actes purs de sculpture Classique; Modelage façonnage, la substance se forme en un
serpentin sans fin. Léviathan...................................................................
/Début de la figuration, il se membre,
Le public commence à reconnaître, évidement il s'intéresse, n'est plus seulement étonné
mais curieux comme un connaisseur, " alors -dit le public- vous êtes sculpteur. ", il ne
s'agit plus de terre mais de bout de corps.
Le corps justement se libère et prend de plus en plus part au chantier, il accepte la boue,
il se recouvre, il devient boue.
L'identité s'annule, masquée.
La pellicule dicte ses lois de séchage, de craquement.
La pellicule dicte ses lois de séchage, de craquement.
/La complexité est autre, les mouvements sont ralentis les séances raccourcissent tant
elles sont épuisantes, mal grès le relais sans cesse entre les adhérents.
L'énonciation apparait, des mots sont scandés palliant l'effort.
Les trois vermines se conjuguent et codent le milieux.
Ils s'adressent aux puissances actuelles et de devenir qui sont Pouvoir & Domination.
(entre autres...)
L'expression déborde matière à son tou
L'expression déborde matière à son tour. Tandis que les corps plient sous la force du matériau qui les englobe.
Le collectif est uni, autonome, puissant.
ELAN
Les corps de boue - non humain - --donc corps sans limites - quittent le périmètre initial.
Coupure ouverture vers l'improvisation entrainant traces et tension entre les éléments -
expressions.
/puissance incorporelle délibérément non formée, libérée, alors la tension avec le milieu
arpenté à savoir, le domaine municipal.
C'est pas rien et ça soulève la réalité, cet espace vert municipal, que lui reste t'il de naturel, tout à été planté, domestiqué, et eux débarquent en boue avec un degré d'énergie
que l'on interdit même aux enfants,
ils ne sont ni propre ni sage ils n'ont plus d'habits, ils n'ont plus La gène, certes, ils se
permettent de salir ce qui leur semble sale comme des poses de femme pour un selfie ou
un mariage pas mal hypocrite, surtout certaines œuvres dont je retiens la
description ............comme un arbre peint en blanc........par la boue.....ils sont seulement spontanés purifiés par leur rituel quotidien de lavement
Çà n'est pas nouveau comme cérémonie, mais c'est très loin du 9eme arrondissement de
Marseille, très loin de 2016, (il y a bien à notre époque des jeunes qui se trainent dans la
boue en festival, il y a même des événements organisés par la pire marque de soda, celle
avec de la taurine, où il s'agit de surpasser ses efforts une journée entière dans un circuits militaire fait de boue..)
Mais il apparait que le collectif est sur un autre plan, celui de l'expérimentation hors programme, hors chef, hors but. Chaque "action" éprouve la résistance sans but sinon la
persévérance même. Par conséquence les tempéraments sont poussés à l’extrême, un
bouillonnement.
La folie à été libérée, elle s'en donne à cœur joie, elle jaillit sans danger dans des mouvements brusques, dans des temps d'arrêts infini, dans le cri -l’énoncé s'est envolé-,
l'essoufflement. ...
Puis le vent prend le dessus et fait sécher glacial le corps en croute.
Plus que jamais le corps est paré des même aspect de cette terre tant regardée, oui la
confirmation réjouis, oui l'on peut définitivement recevoir et porter mont et fissures dans le
bombés de la cuisse, oui l'on peut couler de la terre oui nous sommes tout près tous.
Déterritorialisé donc, puisque désormais chaque journée s'extrait de ce périmètre initial, le
rituel au rythme de l'agir se condense,
Il s'entame toujours par le trajet de la ville jusqu'au parc, par la discussion, par le fait de
Il s'entame toujours par le trajet de la ville jusqu'au parc, par la discussion, par le fait de
s’imprégner de la terre, de la mise hydratante, surtout...terrestre. S'en appliquer donc, devenir autre et laisser aller cet autre qui permet l'inédit...
Chacun son rythme, chacun sa façon mais par l'élan, commun.
Puis l'aventure dans l'espace, l'épreuve des situations et des rencontres imposées par le
lieu, de promenade rappelons le.
/Déployer l’expérience
Un peu de temps à l'état pur, un grain d'Intensité absolue.
Morceaux d'immanence sur le plan de consistance.
Il y a eu cette volonté de sens et de recherche âpres les sessions énonciatives, elle s'est
abandonné, cette volonté inutile pour un devenir-animal, un devenir-molléculaire. ( c'est
deleuze et non moi ces petits couples de mots clairs.)
Il s'agit maintenant de mélange ou agrégats de corps; par conjugaison les formes com
Il s'agit maintenant de mélange ou agrégats de corps; par conjugaison les formes communiquent, les unes intervenant dans les autres, les autres procédant dans les unes, ne
se laissant plus interrompre par l'extérieur. Un plateaux (comme ils disent); une région
d'intensité continue constituée de telle - manière qu'elles ne se laissent aller vers un
point culminant.
Plus tard, la matière au sol s'est liquéfiée, les 'associés sont léger de cette fluidité.
La chronologie symbolique arrive à son terme le jour ou l'un rampe entre les deux strates
du sol sous la bâche et l'ébrèche pour en sortir. Il parait qu'il a vécu à son tour la naissance puisque sombre plat éclairé par un rayon infime...
Une nouvelle voie de circulation est ouverte, celle ci ultime se passe désormais à la
verticale,
ils ont déchiré leur plan, réalisant que c'était le dernier, celui sur lequel ils se trouvent.
Puis ils remballent mais ça n'est pas fini après le démontage le montage des séquences
vidéo filmées sur leur dos. Nouvelle matière, le meilleur est a venir.

La fin




 

La fin de certain brusquée par la faim d'infini d'autres 
peureux de la brièveté ils s'acharnent à extraire de chaque seconde le meilleur profit

la conscience


Qu'il s'agisse d'écrire 
qu'elle s'agite à s’écrier
la conscience s'amuse à circuler



même aire, bétonnée contrôlée
même ère,
partout
contre tous,

l'inspiration

Tant de choses me viennent, toutes me traversent , l'inspiration retenue de peur qu'elle s'essouffle, l'expiration reportée aux prétextes de conditions autres,

    Il y a l'espace et le temps et l'amour,

Il y a les arbres qui dansent lentement bien loin du ciel clair, les oiseaux semblent y voler plus vite.

Trève


Ciel dégagé lumineux,     bande ouverte.
    Beaucoup de traits bleus dans un rêve.
Trève
   Entre deux pages de vocabulaire.
Rêve de cécité oculaire. Rêve d'avion a prendre.

Au réveil ban d'oiseaux synchronisant leur vols.
Inaccessibles.
Inutile de se projeter dehors avant que l'éclaircie ne se gâte..        voila ça bouge, le gris l'emporte.
L'éblouissement restera associé au réveil, au commencement.

sans soi

Sans subir , percevoir, pendu au monde, sans soi, dans la chute digne de celui qui attend.

La lune confirme sereine
Quand bien même la dérive des hommes, l'éclat ne cesse, de se remplir, de se vider, de tourner, d'apparaitre, de se voler,
Qu'importe les extrêmes elle vit son cycle,
Immuable repère, qui accompagne les penseurs de la nuit, partageant leur solitude:
Mais n'est elle pas la preuve, cet astre qui n'aurait pas la parole sans le soleil, fidèle sans la rencontre.
la chaleur ne nous atteins plus
la surface est brulée le potentiel reste cru,

On a toute la vie pour être, le temps matière transformable, le temps espace coupable,
Être, se mouvoir, dire, créer
Tant de moyen que parfois il a le vertige,
tant de possibilités,
l'erreur y est comprise,
Le bon sens confirme pourtant par la récompense de la surprise,
d'un sourire, de la sincérité, de l'émerveillement, du silence, de l'accord, de l'harmonie,
sont de beaux indices de la justesse,
sans cesse se réajuster doucement pour ne pas être violent avec soi même ou aveugle des autres,
confiant.
Cette pute d'idée qui me ronge le crane
qui demande a chaque éclat une dose à consommer,
alors je consume rapidement la cigarette qui me prive de deux doigts
goulette lentement la bierre qui occupe tout la main,
alors rendue à trois doigts maladroit restant,
qui ne sont même ceux de la main qui écrit je tape enragée.

Quelle pute cette idée qui germe sans fleurir
me tiens a résidence pour la rançon d'une finalité,
une finalité d'écrit rendu édition,
pour rien de plus qu'un prétexte d'ordre,
une flemme enflammée remise à plus tard,


il faudrait un certain matin

j'ai depuis bien dormi,

sécher ses mots qui dégoulinent d'insignifiance,


débrancher le chauffage pour brancher l'ordinateur , il faut choisir
L'espace nocturne scintille puis fond,
La vision réflexive superpose les masses aux vapeurs,
Le cerveau s'y retrouve, s'y éveille.

    L'oiseau de l'aube s'agite, graille la veille dans le fossé,
la ville se synchronise par la clarté cruelle qui découpe les surfaces de l'ombre.

    Voir l'autre qui dort, voir celui déjà dressé,
Les douleurs se réveillent aussi, alors la peine, alors la joie d'en avoir.

L'intuition se précise, l'erreur s'est repentit dans son repos, s'en suit la promesse d'une éthique heureuse,

Maintenant le matin relativisé il faudra se motiver à la vie.
Nos floraisons seront
l'heureuse ponctuation,
le devoir en attendant de fléchir

l'ouvrage, notre propre grille
on s'y applique, on s'y reprend tout les jours
être bien sûr que le désespoir fataliste nous correspond encore,
l'ajuster, l'affiner,
jusqu'à la dissimulation totale.

mélasse universelle

Manipulée pétrie faite de pression aplatie pliée,
dans un sens,
puis dans l'autre,
a nouveau pétrie, à nouveau étalée jusqu'au déchirement 
puis le replis
 puis dans l'autre,
l'infini feuilletage de ma vie de main en main
en expansion comme l'univers

ça crie dans les abysses  vibrations enfouies  tremblement imperceptible cœur palpitant

Il en est de belles formes vivantes
sur elles même le corail grandi
se nourrissant de poussière et de déchets
dans l'abysse les couleurs,
le rire dans la peine.

-

comme une jarre de glace fondue 
oui la brume fraiche,

oui l'espoir
autour du quel danser,
celui marque l'ombre
qui sonne l'heure.
La compassion bordait la plaie de son étroite
empathie,
ça suffit!
il faut de l'air pour que ça cicatrise,
brèche refermée,
Être entier.

Balcon parfumé d'Asie, regarde l'orient.

La petite elle, j'y vois l'écume, elle flotte dans le conflit, consciente, rageuse, déjà déracinée, à l'abordage du continent. née de l'union afro-asiatique, cordée à la mère,  celle la même de l'encens, le père rêve rasta respire ganga.


Quand la page est vide alors l'écriture à propos d'elle même, de son prétexte,
la rempli.
Ce qui se vit sans se voir,
soldat pute ou pigeons, singularités remplacées à jamais par le multiple,
la manipulation, la corruption, l'esclavage, l'enfermement, la privation, l'abus,
l'atteinte.
C'est si commun,
c'est si triste ce commun.

-

L'Horizon c'est pour les riches,
d'où cette fatalité de la misère face au mur?

-

Ces boulevards trop grands pour moi.
Ces lumières qui m'épuisent,
privatisées
cet artifice à l'ennui existentiel.
J'ai quitté un ami sans en rejoindre, j'ai feint l'autonomie,
je me vois comme je me sais un peu perdue quand l'autre esquive.



Août était une ellipse

ce parasol planté
dans les cailloux,

nous ne l'avons pas eu,

mais la marche indolore,
le repos nous rappelant à l'ordre,

le soleil aura brulé nos tripes,
nos os en rayonnent encore.


Tout ceux qui nous hantent du vivants sont ils alors libérés au néant ?

Quand on est seul et épuisé
quand personne ne cherche à nous retrouver.
Ca s'épuise ça se dégrade ça passe inaperçu
c'est la pire quand enfant tu crois que le mal se débusque non il se chasse dans l'intime malin.

Une fois né tu dois vivre maintenant,
allé bon courage 
affronte l'antipathie
renvois la balle.
 
je ne veut plus savoir quelle partie tire sur les nerfs, et engendre la gène, maintenant le corps souffre , le foyer ne doit pas être identifié pour ne pas être entretenu, comme un caprice, qu'il se calme, en attendant c'est le tout qui malaise.


tarir la peine


mettre en terre, ceux que l'on a vu vivre, puisque ces larmes sont pour toi, y est tu seulement dedans un peu ?

3 : 30




LA TERRE SANS DESTIIN PRODUIT POURTANT

 

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LA
LAME