imbécile

Alibi d’un calendrier bientôt retourné pour déroger à la sortie, rester entre soi une fois de plus singulière comme chaque et déjà oubliée. Essayer de poser sans énumérer les faits. L’accumulation des existants rend considérable ce parcours sans trajet, tranché entre deux mondes aussi réel l’un que l’autre, celui de l’histoire impitoyable quoique surprenante- des humains face au pan du réel inachevé grouillant sédiments à l’échelle démesurée quant au premier énoncé-sans hiérarchie, il aurait mieux fallu commencer par le colossal puis la tranche humaine qui s’y est ému sur cette meule monde. Tranche acérée réussi a dépecer les espèces pas que la sienne surtout la sienne, tirant du nombre les profits.
Le profil de ce corps s’émousse honteux de son manche gauche, honteux de sa pointe lésée, levée pourtant, branche en l’air bulbe au vent. L’ironie d’être partie du, sans partir de.

Est ce que l’imbécile est corps ?

L’intériorisation habilement agencée telle que le faisceaux brûle celui qui aurait pu irradier.

Le taxon me course, tendance à la dérive toujours rattrapé par les bords, les falaises imaginaires, quasi unique borne le sol quand on s’écroule, ou la dégringole sociale puisque l’on y est qui fracasse au sol toujours.


Ya t’il sol en dehors du social ? Y’a t’il soi en dehors du social ?