Iceland Text I

Nous avons parcouru tout les reliefs d'un seul monde, la terre fraiche de ses rondeurs, pas encore altérées, rendues polie par les orages, l'étendu d'éclats, les montagnes découpées par le choc passé, visible sans avoir été vu. Nous binôme bipède guidés une fois de plus par d'autres, en quête d'arrivée Vivants, par hasard sous le ciel impitoyable de son emprise, si solide contrairement à nous tremblants.

Les chemins s'abordent différemment suivant l'enthousiasme, mais toujours l'urgence instinctive de se mettre à l’abri pour la nuit, l'hostile rend serein, l'échappée sauvage commence derrière là ou tous communiquent.

Suivre un chemin tracé par l'usure d'autres au milieu de l'hostile on ne fait confiance qu'en ceux qui sen sorte. Dommage pour les traverses et les surprises alors, pressé par la peur de perdre du temps.

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A quel point sommes nous ,si inconnus les uns envers les autres mal grès la proximité  Se faire tatouer le désert pour ne pas oublier que les châteaux sont de sable et de pierre, les monuments d’hommes sont morts et je préfére voir la montagne mouvante.


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Le plus haut des pics pose confortable sur la mer
L'admiration face aux éléments
 sans vocabulaire, sans expression sinon celle du rejet absolu de soi dans ça