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l'usure cérébrale est entamée au moment même où l’articulation raisonnable s’enclenche, les canaux sont déjà atrophiés, aucune idée de ce qui pourra en sortir au vue de l’encombrement. Mon crâne jamais ne s’ouvre et pourtant mon cerveaux s’écoule perdu dans les substances il git jamais mou toujours faisceaux vers l’autour vers ceux qui, ou disparus. La tête ailleurs j’avance décapitée, l’épiderme s’épaissit se recouvre d’un duvet insolent, les muscles braillent et s’échauffent gorgés toxines chaque jour l’ascension, chaque jour la déception, ne pas avoir produit une  entaille dans la croute cynique. Si ma tache est au jour limpide  heureuse, qu’elle puisse refléter le ciel qui lui ne s’est pas sauvé, témoin de nos délire,